Luongo est prêt à partir
Mardi 24 avril 2012
RDS.ca, PRESSE CANADIENNE
L’avenir de Roberto Luongo à Vancouver n’a jamais semblé si incertain.
Lors de la dernière rencontre des joueurs des
Canucks avec les journalistes affectés à la couverture de l’équipe
mardi, Luongo s’est dit prêt à lever sa clause de non-échange dans
l’éventualité où la direction était intéressée à tester sa valeur sur le
marché au cours de la saison morte.
"J’ai toujours placé
l’équipe avant mes intérêts personnels, a dit le gardien montréalais.
Les circonstances actuelles sont uniques, avec un gars qui pourrait
dominer la ligue."
Luongo fait référence à Cory Schneider, qui
lui a ravi son poste après les deux premiers matchs de la série de
premier tour face aux Kings de Los Angeles, que les Canucks ont
éventuellement perdue en cinq rencontres.
Après avoir terminé la
saison avec une fiche de 31-14-8 et une moyenne de buts alloués de
2,41, Luongo a été relégué au bout du banc après avoir accordé sept buts
sur 64 lancers en séries. Schneider est arrivé en relève et n’a cédé
que quatre fois en trois matchs, aidant les Canucks à signer une
victoire.
Luongo, 33 ans, a signé une prolongation de contrat de douze ans évaluée à 64 M$ en 2009.
Schneider, qui a touché un salaire annuel de 900
000$ au cours des deux dernières saisons, pourrait devenir joueur
autonome avec compensation le 1er juillet.
Des problèmes qui remontent à loin
Le
directeur général des Canucks, Mike Gillis, estime que les problèmes de
son équipe ont commencé bien avant leur étonnante élimination aux mains
des Kings.
Gillis a précisé qu'il croit que les Canucks ne se
sont jamais remis de leur victoire très émotive à la mi-saison face aux
champions en titre de la Coupe Stanley, les Bruins de Boston.
Les
Canucks se sont inclinés en sept matchs face aux Bruins en finale l'an
dernier mais ils l'ont emporté 4-3, le 7 janvier dernier, à Boston.
Selon Gillis, une série de blessures et un jeu peu inspiré ont gâché le
reste de la saison.
Il a ajouté que le brio des gardiens se veut
la principale raison pour laquelle les Canucks ont réussi à s'emparer du
trophée du Président, décerné à l'équipe ayant compilé le meilleur
dossier dans la LNH.
Gillis a également réitéré sa confiance en l'entraîneur-chef Alain Vigneault.
Mardi 24 avril 2012
RDS.ca, PRESSE CANADIENNE
L’avenir de Roberto Luongo à Vancouver n’a jamais semblé si incertain.
Lors de la dernière rencontre des joueurs des
Canucks avec les journalistes affectés à la couverture de l’équipe
mardi, Luongo s’est dit prêt à lever sa clause de non-échange dans
l’éventualité où la direction était intéressée à tester sa valeur sur le
marché au cours de la saison morte.
"J’ai toujours placé
l’équipe avant mes intérêts personnels, a dit le gardien montréalais.
Les circonstances actuelles sont uniques, avec un gars qui pourrait
dominer la ligue."
Luongo fait référence à Cory Schneider, qui
lui a ravi son poste après les deux premiers matchs de la série de
premier tour face aux Kings de Los Angeles, que les Canucks ont
éventuellement perdue en cinq rencontres.
Après avoir terminé la
saison avec une fiche de 31-14-8 et une moyenne de buts alloués de
2,41, Luongo a été relégué au bout du banc après avoir accordé sept buts
sur 64 lancers en séries. Schneider est arrivé en relève et n’a cédé
que quatre fois en trois matchs, aidant les Canucks à signer une
victoire.
Luongo, 33 ans, a signé une prolongation de contrat de douze ans évaluée à 64 M$ en 2009.
Schneider, qui a touché un salaire annuel de 900
000$ au cours des deux dernières saisons, pourrait devenir joueur
autonome avec compensation le 1er juillet.
Des problèmes qui remontent à loin
Le
directeur général des Canucks, Mike Gillis, estime que les problèmes de
son équipe ont commencé bien avant leur étonnante élimination aux mains
des Kings.
Gillis a précisé qu'il croit que les Canucks ne se
sont jamais remis de leur victoire très émotive à la mi-saison face aux
champions en titre de la Coupe Stanley, les Bruins de Boston.
Les
Canucks se sont inclinés en sept matchs face aux Bruins en finale l'an
dernier mais ils l'ont emporté 4-3, le 7 janvier dernier, à Boston.
Selon Gillis, une série de blessures et un jeu peu inspiré ont gâché le
reste de la saison.
Il a ajouté que le brio des gardiens se veut
la principale raison pour laquelle les Canucks ont réussi à s'emparer du
trophée du Président, décerné à l'équipe ayant compilé le meilleur
dossier dans la LNH.
Gillis a également réitéré sa confiance en l'entraîneur-chef Alain Vigneault.